La saint Valentin… Gaara fait partie des genres de personne qui ne voit pas grand intérêt à cette fête. Il se demande pourquoi il y avait nécessité d’une journée par an pour déclarer son amour réel ou amical alors que cette occasion peut se présenté chaque jour selon notre envie. Mais il tente tout de même de comprendre ceux qui prennent de l’importance à cette fête. Pour les plus timides c’est plus ou moins un prétexte de faire un premier pas.
J’ai fini par finir la statue que j’ai entamé il y a quelque semaine avant. Cette fameuse statue que j’ai commencé sans réfléchir. Cette fameuse statue qui a pris la forme d’une silhouette féminine aux cheveux longs avec une frange. Pensant que prendre l’air me changerait les idées ou voir même me remettrais les idées en place tout court le résultat final reste tout de même perturbant et aussi surprenant. La statue avait une forte ressemblance avec ma seule amie : Natsuko no Oshiro. Pourquoi j’en suis arrivé à ce résultat final ? Je n’en sais rien du tout, et le plus étrange dans tout ça c’est que cette statue-là à l’air de vouloir me faire comprendre une pensé enfouie gênante. C’est pour cette raison que je l’ai emmené dans ma chambre pour ensuite l’enfermer dans mon placard comme quand on enfouie un secret.
Les rayons du soleil finit par doucement me réveiller m’étant couché plutôt tard par cette pensé qui me tiraillé l’esprit. Des questions de l’incompréhension, et personne à qui en parler. Pas même Naruto, il a beau être un ami, je doute fort qu’il puisse mon conseiller ou m’expliquer quoi que ce soit à ce ressentie. Et puis je panique sans doute pour rien, Oshiro-san est juste peut-être devenue une muse pour cette œuvre et seulement sur cette œuvre. Je devrais plus surveiller mes pensées et tenter de comprendre les sentiments qui sont encore trop inconnue pour moi. Je me lève doucement du lit et met un bon moment avant de me réveiller complètement pendant que je prenais ma douche et me préparer pour passer une journée qui est pour moi comme tous les autres. Pour dire, je ne sais même pas quel date nous sommes, et je ne m’en préoccupe pas vraiment.
La journée s’entame sans encombre, mais je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer plusieurs filles avec des boîtes de chocolat. Je finis par froncer les sourcils. Y’a un truc de particulier pour que autant de jeune fille donne des chocolats à des garçons ? Je finis enfin par jeter un coup d’œil sur mon portable pour regarder la date avant de soupirer. La saint valentin… Mais quelle idée… Il va falloir que je me trouve un endroit calme pour la journée. Ce n’est pas que a fêté me dégoute, c’est surtout que je me doute bien que l’attention de tout le monde sera porté sur cette fête, et j’ai moyennement envie de m’en mêler. Quand on y voit aucune intérêt le mieux c’est de ce mettre appart.
En quête donc de tranquillité je me dirige vers la salle du club d’art que je pensais en ce jour de fête, vide. Mais étrangement lorsque j’ouvre la porte j’hausse doucement les sourcils en apercevant Amikishi une connaissance et Oshiro-san en train de dormir. Je garde la main posé sur le poignet de la porte, pour reste au seuil silencieuse fixant longuement mon amie endormie pour une raison que j’ignore. Je me demande ce qu’elles font ici. Moi qui voulais sculpter tranquillement… C’est râpé. Par politesse je salut quand même la rouquine réveillé d’un air pensif.
« … Bonjour. »
Puis je m’approche de Oshiro-san et constate très vite un courant d’air par ce temps frais, cette école n’est pas foutue de mettre le chauffage assez fort pour le confort des élèves ? Ah non, le courant d’air provenait juste d’une fenêtre entrouverte à côté d’elle. Sans rien dire je la ferme et par peur qu’elle attrape froid je pose mon sac et enlève ma veste a capuche pour la poser sur ses épaules afin qu’elle n’attrape pas froid par le courant d’air qui était près d’elle. Je m’assoie ensuite sur une table pas loin et finit par regardé Amikishi d’un air naturellement neutre.