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 Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]

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Ikki Strauss
Ikki Strauss
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MessageSujet: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyLun 29 Sep - 8:49



   

« Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. »






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    Feat Aya Ryuichi

   
Le week-end touchait déjà à sa fin. Enfin il restait encore toute la journée de ce beau dimanche. Et pour une fois je n'avais plus de devoir à travailler. Ma récente "bonne" note en math m'avais donné du courage pour tous faire samedi. Enfin bonne note j'avais eu tout juste la moyenne avec un 50/100. Pour moi c'était un exploit et j'en étais très fier, je ne me cassais pas la tête pour rien. Puis en parallèle il y avait les élections des délégués qui étaient en cours, je m'étais de nouveau présenté, mais était ce vraiment une bonne idée ? Je voulais défendre la cause des gens qui n'avait pas forcement d'argent. Mais d'après la lettre de notre directeur son successeur allait être plus sévère pour redresser KHS. Donc je pense que les personnes pauvre en C et D n'allaient pas avoir beaucoup d'aides de débloquées... Je pensais à tout cela en prenant une douche, mon colocataire dormait encore, il faut dire qu'il était tôt pour un dimanche. Mais j'adorais courir le matin que le brouillard ne n'était pas encore totalement dissipé. Cela apportait un peu de fraicheur pendant l'effort, et cela faisait travailler la respiration encore plus que s'il faisait un temps claire. C'était une très bonne façon de se mettre en condition pour mes compétitions de natation, les dernières, car avec le temps qui se rafraichissait seule les compétitions en piscine couverte serai possibles, et pour y accéder il fallait faire de très bon chronos, chose que je n'avais pas réussi l'année dernière. Alors cette année j'allais me donner à fond ! C'était mon état d'esprit en sortant de la chambre dans le plus grand des silences. Ma veste mise, mon casque sur mes oreilles, la musique lancée, mon sac sur mon dos avec de quoi l'acheter à manger pour se midi en vie, tout était près. Je sors du pensionnat en évitant de faire trop de bruit, car je sais bien que la plupart des élèves dorment encore. 8h30, j'étais partis pour une bonne heure de footing, je partais de Khs, passant par le terrain d'athlétisme faire deux trois tour de piste pour être bien échauffé avant d'aller courir dans le parc. L'avantage de courir un dimanche matin, c'est que même dans le parc il n'y avait pas grand monde, et surtout avec le brouillard qui commençait tout juste à se lever. Au moins je ne risquais pas de renverser quelqu'un, c'était déjà une bonne chose, car croyez moi ou non, s'il y avait quelqu'un a percuté il fallait toujours que ça tombe sur moi. Et des fois les personnes ne sont pas vraiment très compréhensive. 9h40, je m'arrête deux minute avant de me mettre a marcher à bonne allure. Bien que l'air soit frais, j'avais bien et je gardais ma veste, car si je l'enlevais à coup sûr j'attraperai froid.

Après une bonne demi heure de marche je m'aperçois que le parc ce rempli doucement de monde. Le brouillard une fois parti c'est sur qu'une ballade dans le parc pouvait être agréable, cela permettait au gens de profiter des derniers beau jours de la saison. Je m'assois sur le premier banc que je trouve de libre, heureusement qu'il n'est pas trop humide je ne voulais pas finir avec une auréole sur les fesses... Car c'était loin d'être charmant, même si je ne pouvais pas trop accoster de gens dans cette tenue, une marque de la sorte irai jusqu'à faire rire les passant, et je n'avais pas besoin de sa. Mon morale n'était pas encore revenu au top, mais j'allais déjà beaucoup mieux. Je me demandais même quand je pourrai proposer à Miyuki de se voir en dehors de l'école, mais surtout que faire... Les sorties entre amis n'étaient pas mon fort, surtout que le plupart du temps les gens que je croisais en dehors de KHS, je les croisais par "accident".... Bon inutile de se triturer l'esprit avec tous ça, je lui enverrai un message quand j'aurais une idée moins stupide que les autres. Je me lève et décide de me rendre vers le centre ville pour aller manger grignoter quelque chose comme une pâtisserie. Je m'arrête à un passage piéton. C'est fou comme à cette heure il y a déjà beaucoup de monde, quand les gens ne sont pas au bureau les rues sont facilement bondées, même à Konoha, je ne pouvait imaginer la capitale et les très grandes villes Japonaises. Une fois le bonhomme vert j’entreprends ma traversé. J'étais presque que de l'autre coté, mais je m'arrête et me retourne. Je n'avais pas rêvé, il y avait bien quelqu'un en fauteuil roulant qui semblait avoir quelques difficultés, de se pas je fais demi-tour avant que le feu des piétons devienne rouge. Je débloque le fauteuil de la jeune femme qui était coincé dans un trou et je la pousse jusqu'au trottoir. Son visage ne m'étais pas inconnu, il me semble même bien que nous sommes dans la même classe. Je prend amicalement la parole :

   « Désolé si tu ne voulais pas d'aide, mais le feu allai passer au vert pour les voitures. »

C'est vrai que certaines personnes à mobilité réduite ne supporte pas être considéré comme handicapé, donc il n'apprécie pas toujours le fait d'être aidé comme s'ils étaient été assistés. Chose que je pouvais comprendre, mais je n'aimais pas laisse les gens dans le besoin sans aide, surtout que les automobiliste aurait surement klaxonné d'énervement si elle n'arrivait pas à se débloquer. Puis je m'arrête et me met devant elle pour me présenter car je n'arrivait pas trop à me souvenir de son prénom ou même de son nom, pourtant j'étais certain qu'elle était dans ma classe.

   « Je m'appel Ikki, je ne sais pas pourquoi, mais je suis certain de t'avoir croisée à KHS, il me semble même que nous soyons de la même classe, je me trompe ? Je comptais aller m'acheter de confiseries, si tu veux me suivre pour parler un peu. »

On m'avais conseiller de parler pour me changer les idées. Et puis faire connaissance avec une camarade de classe et une bonne chose, surtout en dehors de l'école. Au moins on ne se sent pas oppresser par le travail scolaire et les cours. J'attendais sa réponse en lui souriant amicalement, avant de savoir si elle désirer me suivre ou non.


   
A suivre…


   
   
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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyMer 1 Oct - 9:43

Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe.
P.V Ikki





« A la semaine prochaine Mademoiselle Ryuichi. »

déclara stoïquement la femme, le nez dans sa paperasse.

Ladite concernée lui répondit poliment en retour. Une fois sortit elle atterrie dans le couloir blanc  de l'hôpital. Un instant elle prit le temps d'observer les patients qui défilaient devant-elle. Il y avait de tout, des seniors tout comme elle en  fauteuil, des enfants et adultes atteints de diverses maladies et sûrement des personnes accidentées dans le lot. A mesure qu'elle avançait, la jeune fille pouvait voir certaines chambres entrouvertes lui laissant constater le malheur de chacun.

Cela devait faire une dizaine d'années qu'elle fréquentait l'hôpital. Pour autant, cette aura de mort la faisait frissonner. Elle haïssait ses murs immaculés, dans lesquels elle fut trop longtemps prisonnière. Et par dessus-tout l'hypocrisie dont faisait preuve les médecins à son égard. Les progrès médicinale avait beau avancer d'années en années une paralysie comme la sienne ne pouvait être soignée. Du moins, pas maintenant. Dans dix, vingt ans qui sait ? Quand bien même, les plus belles années de sa vie seraient passées, n'est-ce pas ?  La jeune fille avait accepté sa condition. Pourtant, ils s'obstinaient presque avec véhémence à lui donner un espoir qu'elle savait vain.
Un léger soupire s'échappa d’entre ses lèvres. Comment pouvait-elle avoir des pensées aussi sombres à une heure pareille ? Rien n'était tout noir dans ce bâtiment aux couleurs virginales. L'espoir elle avait beau l'avoir rejeté il existait bien. Peut-être ne voulait-il pas d'elle, mais pour d'autres il était bien présent.


« Oh, Aya ! C'est bien toi ? Comment-vas-tu ? Comme tu as grandi !  »

Sortant de ses pensées, la concernée se retourna. Elle reconnut  Madame Itô son ancienne professeur de cours particuliers. Dans ses bras, elle tenait un nouveau-né. Les deux femmes s'échangèrent quelques banalités après cinq longues années. Ainsi, la jeune fille apprit que son ancienne professeur venait tout juste d'accoucher il y a quelques jours après s'être mariée il y a un an de cela. Après une dizaine de minutes à bavarder, Aya la salua et lui souhaita beaucoup de bonheur, un léger sourire aux lèvres.

Oui, rien n'était complètement noir. La preuve, cette femme qui avait été auprès d'elle pendant deux années venait enfin de toucher au bonheur. Mariée, mère, n'était-ce pas beaucoup en soi ? Certains diraient que ce n'est qu'une vie de conformisme. Pourtant, lorsqu'elle essayait de penser à son propre avenir elle n'arrivait pas à voir cette vie menée par tant d'autres. Une maison, un mari, des enfants, un poisson rouge... Tout ça elle n'arrivait pas à l'imaginer. Et ça pouvait paraître stupide, mais à cette pensée, il y avait toujours un léger pincement au cœur qui s'ensuivait.

La norme, stupide notion qu'elle exécrait également. Pourtant, elle enviait tant ceux qui rentraient dans ce moule. Paradoxale ? Oui, en effet. Aujourd'hui, quand bien même la journée était belle, son esprit avait décidé de broyer du noir . Stupide, n'est-ce pas ?  La brune le savait il fallait qu'elle se ressaisisse, sa dignité était encore trop grande. Cela ne servait strictement à rien de répéter inlassablement sa colère envers ceci ou cela. Quoiqu'elle veuille, rien ne changerait. Chaque dimanche elle verrait la doctoresse pour une consultation. Chaque dimanche elle verrait tôt le matin ces murs blancs. Et même avec ça, la vie continuerai. Cette routine, elle la vivrait jusqu'au bout. A  jamais elle resterait cette élève studieuse, mais handicapée, invisible aux yeux du monde. Ses quelques moments d'oxygènes resteraient son club et ses livres. Au final,  n'était-ce pas bien ?Elle n'avait aucune raison de se plaindre. La demoiselle avait tout ce dont elle voulait. Sauf, la mobilité.

Errant dans la ville, son esprit toujours envahi de toutes ses pensées tortueuses, il fallut qu'au moment de traverser le passage piéton elle coince sa roue. Bien trop fière, elle ne tenta pas de demander de l'aide à quiconque. La faiblesse elle la bannissait corps et âme. Aya pouvait se débrouiller seule. Du moins, c'est ce dont elle se persuada en tentant vainement de sortir sa roue. En réalité, elle était faible. Face à ce triste constat, la lycéenne redoubla d'effort agacée.

Jusqu'à ce que par un miracle sa roue se dégage d'elle même.  Enfin non, pas vraiment en réalité. Quelqu'un était venu délibérément lui prêter main forte. Ladite personne l'emmena jusqu'au trottoir d'en face. Tout s'était passé trop vite pour qu'elle fasse attention. Du moins jusqu'à ce que qu'il se présente devant-elle. La demoiselle leva les yeux et pour une fois laissa échapper un signe de surprise. Elle le connaissait de vue. Ikki Strauss, camarade de classe et également ancien membre du comité des élèves. Il venait d'ailleurs de se représenter comme délégué. Il luttait contre les inégalités. Elle ne pouvait qu'approuver. Enfin bref, la jeune fille le laissa se « justifier » sur le pourquoi il l'avait aidé.  Aya détestait les actes de pitié. Pour autant, elle ne pouvait pas en vouloir au jeune homme. Il avait agi dans l'intérêt de tous. Si le feu était passé au vert, Dieu sait que la jeune fille aurait dérangé un monde fou. La brune était en colère contre-elle même. Contre sa dépendance des autres. Pour autant, ce n'était guère le moment d'afficher une mine aussi sombre.
Elle  hocha de la tête à son égard, son doux sourire revenu.

-Non, tu as bien fait d'intervenir. Sans ton aide, j'aurai créé de nombreux problèmes en plus de retarder les conducteurs. Déclara-t-elle délicatement  un regard reconnaissant.

Par la suite, il se présenta à elle. Il ne la reconnaissait pas. Du moins, il n'arrivait pas à porter un nom à son visage bien qu'il avait des doutes. Cela fit accentuer le sourire de la jeune fille. La situation était plutôt amusante. Après tout, elle savait qui il était. Penchant sa tête sur le côté, elle l'observa un peu plus en détail un regard de nouveau pétillant. Lorsqu'il lui proposa spontanément d'aller manger une confiserie, Aya parut touchée de l'invitation. N'était-ce pas plutôt-elle qui en théorie devrait lui proposer  ? C'était incompréhensible. Tellement qu'elle laissa échapper un rire cristallin avant de prendre la parole.

-Je m'appelle Aya. Aya Ryuichi. Dit-elle toujours de sa voix douce, son rire dissipé. Tu as raison, nous sommes en effet dans la même classe Ikki-san. En tout cas, ça serait avec plaisir si je pouvais t'accompagner ! Il y a justement une boutique au coin de la rue qui vend de très bonnes confiseries artisanales, peut-être est-ce celle-ci dont tu parles ? En tout cas, j'insiste pour t'en offrir une, c'est la moindre des choses. Termina-t-elle sans laisser d'opposition possible. Son entrain naturel réapparu.

Finalement, cette journée maussade n'allait peut-être pas le rester.  Même lorsque tout paraissait gris, il suffisait parfois d'un rien pour que la vie paraisse moins laide. Enfin, c'était son impression face à cette rencontre imprévue qui n'aurait sûrement pas eu lieue sans ce fauteuil...Comme quoi.


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Ikki Strauss
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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyJeu 2 Oct - 8:21



 

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On me ressasse souvent que mon surplus de bonté n'était en fait que de la naïveté et que cela finirai par me jouer des tours. Dans un sens ils n'avaient pas totalement tord, j'étais assez naïf, mais dans l'ensemble il ne me semble pas que les gens aient profiter de cette gentillesse que je peux avoir avec autrui. Cela ne fait de mal à personne de faire preuve de gentillesse ? Je ne vois pas ce qui pouvait les déranger dans le fond. Bon pour cette fois c'était un peu différent. J'avais entendu dire que les personne à mobilité réduite n'aimaient pas toujours que l'on leur apporte de l'aide, chose que je veux bien comprendre. Puis ce n'est pas comme si je la prenais de haut en lui apportant mon aide. J'étais tous le contraire, c'est d'ailleurs pour ça que je m'étais tut d'abord excusé de l'avoir aider sans lui demander si elle le désirait ou non. Elle semblait quelque peu surprise une fois sur le trottoir lorsque je m'étais positionné en face d'elle. Pensait elle que j'allais me sauver comme un voleur après lui avoir porter moins forte, qui plus est, sans lui demander ou même la prévenir de mon intention. Puis je tenais vraiment à voir son visage, car oui déjà avant que je l'aide j'avais l'impression de l'avoir déjà vue et c'est seulement une fois en face d'elle que je me suis souvenus qu'elle était dans la même classe que moi, malgré cela, impossible de lui associer le moindre prénom. C'est avec un sourire quelque peu gêné, mais entièrement amicale que je la regardais, l'expression de son visage me faisais d'abord penser que j'avais mal fait en l'aidant, comme si elle n'en avait pas voulut. Puis les traits de sous visage s'adoucirent doucement pour laisser place à un très jolie sourire. Chose qui me fis me décontracter entièrement, repoussant de ma tête le fait que mon aide ai pu l'offenser. Ses paroles firent de même, car elle semblait même être reconnaissante.

mais si seulement j'étais capable de retenir ne serait ce que les nom des personne de ma classe cela ne me laisserai pas dans cette position. Surtout que la plupart de mes camarades étaient déjà dans ma classe l'année dernière, mais... J'avais ce truc contre les prénoms et les visages des gens, pourtant j'écoutais toujours lors de l'appel, mais impossible de me souvenir du visage des gens... Et puis le fait qu'elle soit en fauteuil rouant aurait pu m'aider à me souvenir de son nom, mais non, même pas. Je devais paraitre assez stupide à ce moment. Ce n'est même pas le regard qu'elle posait sur moi pour me détailler un peu plus qui déclencha mon éternel reflexe qui trahissait chacun de mes moments de gène ou de timidité quelconque. Ma main allait automatiquement se loger dans mes cheveux avec un large sourire presque désolé, un peu gêné de ne pas me souvenir de son prénom alors qu'elle, se souvenait parfaitement du mieux. Je crois bien que malgré tout le petit rire qu'elle avait pu laisser s'échapper me mettait tout de même assez à l'aise, elle semblait vraiment être quelqu'un de chaleureux en fait. La demoiselle qui se prénommait Aya, insistait pour m'offrir une des confiseries qui était faite dans une boutique artisanal qu'elle semblait connaitre. Pour être franc, je ne savais pas vraiment ou j'allais acheter mes confiseries, je me serais surement arrêté au premier magasin qui aurait croisé ma route. Toujours sur le trottoir, avec toujours autant de monde, je ne faisait pas vraiment attention aux vas et viens de toutes ces personnes qui bondaient les rues, et eux faisaient surement de même. C'est ainsi qu'un homme surement pressé me bouscula sans même s'excuser, peut importe, me voila en train de tomber vers Aya. Par reflexe je me rattrape a son fauteuil et laisse tomber un genou par terre pour ne pas que le fauteuil ne parte en arrière. Je me redresse aussitôt en m'excusant :

  « Ah, excuse moi, les gens ne font vraiment pas attention, pas de mal au moins, Aya ? »

Voila que je lui donnais un coup de main pour traverser, et un peu plus a cause d'un homme presser je la faisais repartir en arrière vers la route. A cause des autres il m'arrivait souvent d'avoir ce type de sueurs froides, imaginant déjà le pire. Heureusement, le fauteuil n'avait pas bougé d'un pouce. Sans perdre trop de temps suite à ce léger imprévu je reprend la parole pour accepter la proposition qu'Aya venait de me faire un peu lus tôt. Je ne voulais vraiment pas qu'elle se sente obliger de me payer une confiserie. Après la façon don elle me l'avait proposé ne semblait pas vraiment me laisser trop le choix.

  « Je ne vois pas vraiment de quelle boutique tu parles, je ne connais pas vraiment tout les coin de cette ville, je me serai surement arrêté au premier marchant de confiseries que j'aurais croisé. Mais si tu en connais un bien je te laisse me guider. Et c'est ok pour que tu m'offre une confiserie, mais c'est moi qui t'emmène jusque là bas ! »

A mon tour je ne lui laissait pas trop le choix en me remettant derrière elle pour pousser son fauteuil. Après tout elle allait me payer un gâteau, je pouvais bien lui facilité la route. Ma situation social faisait que j'étais bien loin d'être riche, et les mois n'étaient pas toujours facile heureusement que l'école me procurait certaines aides. Et quand on est dans ma condition ce n'est pas toujours simple d'accepter de se faire inviter pour manger un bout ou même pour une simple confiserie. Dans un sens on était un peu dans la même situation, pas pour les même conditions, mais le ressentie était presque le même. Se sentir impuissant face aux moyens des autres, qu'il soit financier ou grâce à leur locomotion sans faille. Je gardais un sourire radieux, emmenant la jeune femme la ou elle me l'indiquait, prenant garde aux gens toujours trop pressé qui eux ne faisait pas forcement attention aux personnes qui les entouraient.


 
A suivre…


 
 
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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyVen 3 Oct - 10:07

Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe.
P.V Ikki





Son naturel enjoué revînt bien vite face au garçon qui semblait cependant gêné. Sûrement par le fait de ne pas avoir su la reconnaître. En plus, peut-être que lorsqu'elle avait rit sa gêne avait redoublé... ? Dès lors que la brune trouvait quelque chose d'amusant, elle ne pouvait guère contenir son rire. Pour autant, ce dernier ne se voulait jamais moqueur et elle priait pour ne pas qu'il ne prenne de cette manière.

Par ailleurs, la lycéenne espérait qu'il accepte sa proposition. Cependant, entre-temps, face à tout ce monde dans les rues de Konoha , il fallut que le pauvre Strauss se fasse bousculer par un de ces hommes peu civilisés qui parsemaient la terre. L'action s'étant une nouvelle fois déroulée trop vite (et également comme Aya n'avait guère de réflexe pour ce genre de chose...). C'est ainsi que lorsqu'il tomba tête la première vers elle, la brune tendit ses bras un peu trop tard. A ce moment, elle se sentit très légèrement stupide lorsqu'il arriva à se rattraper sur son fauteuil, elle les bras toujours en l'air. Clignant des yeux une, ou deux fois, la jeune fille laissa échapper un soupire de soulagement. Par ailleurs, elle remit ses bras à leur place, tout en marmonnant qu'il y avait eu plus de peur que de mal. Un instant, son regard se reposa du côté de la foule. Le malotru avait disparu dans cette masse humaine. En conséquence, plus de chance de pouvoir le rattraper et lui apprendre les bonnes manières. Malheureusement. Décidément, ce genre d'individu l'exaspérait, bien qu'elle n'en montrait rien.

Enfin bref, après ce malencontreux accrochage,  je jeune homme  s'excusa.  Il lui demanda si elle n'avait rien. Une énième fois elle l'observa. C'était un réflexe qu'elle avait pris depuis bien longtemps déjà. Néanmoins, ce n'était pas pour le détailler physiquement. Quelque chose, clochait. Ah oui, son comportement. La gentillesse, sa gentillesse dont il faisait preuve, voilà ce qui questionnait la demoiselle. Il y avait en lui une certaine... Pureté ? Dans ses actions, ses paroles, il n'y avait aucune arrière pensée. Il agissait naturellement dans ce monde de faux-semblants. Un sourire bienveillant s'afficha sur les lèvres d'Aya. Drôle de garçon.

-Ikki-san, ce serait plutôt à moi de te demander si tu vas bien, tu ne crois pas  ?  Dois-je te rappeler que c'est toi qu'on a poussé ? En tout cas nous ne sommes pas très chanceux aujourd'hui, le karma peut-être ? S'interrogea-t-elle un brin amusée.

Des désagréments de toutes sortes ils en auraient jusqu'à la fin. Mieux valait donc en rire et passer à autre chose. Optimisme ? Il le fallait bien ne serait-ce qu'un peu.

Après cela, le garçon accepta sa proposition ce qui la ravit tout particulièrement. Bien qu'elle était d'une nature douce, une partie de son caractère révélait un trait plus ou moins « autoritaire » , qui comme tous, n'appréciait guère le refus. Néanmoins, ce n'est pas comme si ses paroles partaient d'une mauvaise attention, non  ? N'était-ce pas naturel de vouloir payer ses dettes du mieux qu'on pouvait ? Son camarade de classe reprit la parole tout en lui faisant savoir qu'il ne connaissait pas la boutique dont-elle parlait. Sûrement ce serait-il arrêté à la première boutique vue, cela fit sourire la jeune fille. Par ailleurs, il finit par lui dire qu'il l'emmènerait là-bas. Aya voulut protester. Cependant, le jeune homme, plus rapide qu'elle, se permit de pousser son fauteuil. Fin prêt à l'emmener dans la confiserie particulièrement réputée dans la ville.

De par sa condition sociale plus qu'aisée Aya pouvait se permettre de nombreuses choses. Néanmoins, elle restait réaliste et connaissait la valeur de l'argent. Bien que fille d'un riche homme, la brune restait raisonnable, puisqu'elle savait que pas tous n'avait pas sa chance. Pour autant, ne vivant pas leur vie, la jeune fille ne pouvait pas imaginer la honte à se faire payer quelque chose même si on le lui avait déjà dit. Elle et lui vivait dans un monde bien opposé, bien qu'elle ne le savait pas.

De plus, même si la brune se révélait plus sage que d'autres, cela ne l'empêchait pas quelques coups de folies comme du matériel de peinture pour son club ou encore... Les confiseries. Son péché mignon ? Assurément. D'ailleurs, elle devait se faire fureur pour ne pas dépasser les limites. A la pensée de manger telle ou telle sucrerie la brune afficha un regard pétillant au jeune homme qui lui-même arborait un sourire éclatant.

-Hm Ikki-san, tu as une préférence particulière ? Leurs guimauves sont délicieuses... Ah, ils font aussi des petits fours très inspirés de la France ou encore de très bonne pâtes de fruits... Ils vendent aussi des pâtisseries ou encore du chocolat... Sûrement le meilleur de Konoha ! …Ah tiens, la boutique est juste en face ! Termina-t-elle joyeusement avec un engouement tout sauf dissimulé.

Oui oui, dès lors qu'on parlait de sucreries où tout ce qui était à base de sucre, la jeune fille s'emportait. Si la boutique n'avait pas été aussi près, peut-être même aurait-elle continué à parler. Rien n'est moins sur. Parfois, il lui arrivait de ressortir sans le vouloir ce côté candide.
Étonnamment, le ciel lui paraissait encore un peu plus radieux, après un début de matinée grisâtre à ses yeux.


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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptySam 4 Oct - 5:06



 

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Pour une fois que ce n'était pas ma maladresse qui m'avait fait tomber sur la demoiselle. Quoi qu'il se passe il fallait toujours qu'une événement malencontreux se passe. Depuis que je me sent mieux, après avoir longuement parler avec une étudiante du nom de Miyuki il y a quelques mois de ça, il ne m'arrivais que des petites choses imprévues et des fois très gênantes... Comme cette stupide sortie aux sources. De quoi me faire presque rougir rien que d'y penser. C'est pour cela que j'évité de trop sortir de l'école. Quand je sortais c'était principalement pour courir dans le parc, aller boire un soda et grignoter avant de rentrer à KHS. Que voulez vous que je fasse en dehors de l'école de toute façon ? Sans aucun revenu, et vu l'argent sur mon compte en banque je ne faisait pas de folie ! Mais ce n'est pas pour autant que je profité de la richesse des autres, dans un sens cela était même assez gênant, et blessant lorsque ceux qui ont de l'argent vous font bien comprendre que vous n'en avait pas. Après m'être relevé je m'assure qu'elle aille bien. Simple galanterie, ou habitude ? On m'avais déjà fait remarquer que je me souciais plus des autres que moi même. Elle avait raison, mais aujourd'hui elle n'est plus là. Être ainsi ne m'a encore jamais apporté de bonne chose au final, c'est pour cela que j'ai voulu changer, mais on m'avait dit de ne pas le faire, de rester moi, et qu'avec le temps j'oublierai ma rupture. Elle aussi avait raison. Quelle serai ma leçon sur moi même aujourd'hui ?

J'oubliais mes pensés lorsqu'Aya reprit la parole, mes yeux fixaient les siens amicalement. Ces mots me firent sourire. Oui c'est vrai que c'était moi que l'on avait poussé, pourtant c'est sur elle que j'étais tombé. Surement un mauvais Karma, pour une fois que je ne trébuché pas maladroitement ou qu'une autre gaffe de ma part soit la cause de tout se remue-ménage. Mon sourire en disait surement long sur mon état. Oui j'allais bien, ce n'étais pas cette semi-chute qui allait me casser un os. Je lui lâchais un simple "- Ne t'en fais pas." Et c'est sans perdre de temps que je ne lui laissait aucune chance de refuser. Je me doutais bien qu'elle ne voudrait pas si je lui proposé. Qu'elle personne à mobilité réduite accepterai sans broncher qu'on la face avancer à sa place ? Mon premier geste était naturel, je ne pouvais simplement pas la laisser en plein milieu de la route bloquée. Donc vu qu'elle souhaitait m'offrir un confiserie je pouvais bien faire ça. Et puis, ainsi il serait plus simple de discuter sur la route sans être gênés par les autre passant qui sont toujours pressés quelque soit l'heure de la journée. Pendant la route Aya prit la parole, surement surexcitée à l'idée d'arriver dans cette fameuse boutique si réputée. Cela me faisait légèrement rire, la façon dont elle était emballé à me parler de ces fameuse confiseries. Elle semblait bien connaitre cette boutique et être assez connaisseuse. Je continuais de marché avec un grand sourire, dans la joie d'un dimanche matin et d'une rencontre fort sympathique. Après un dernier petit rire amusé par le comportement de la demoiselle, je m'arrêtais en face de la boutique en prenant la parole, ne sachant strictement pas quoi prendre.

 « Et bien, tu sembles bien connaitre les spécialité de ce magasin. Je n'ai aucune préférence pour ma part, je n'ai pas vraiment pour habitude de manger des confiseries, c'est un plaisir que je me fais des fis le week-end, et la première boutique et la bonne. Je prendrai donc la même chose que toi. »

Je lui ouvre la porte pour la laisser entrer. Une fois dans la boutique je regarde un peu partout. Ces marchands devaient bien gagner leur vie à voir la beauté de cette boutique. Je n'abusais même pas demander le prix de leur pâtisseries et confiserie. Je jetais tout de même un œil dans la vitrine, je dois avouer que mes yeux pétillaient devant tant de merveilles. J'en avait déjà l'eau à la bouche. Heureusement que je la laissait seule pour choisir, car, je n'aurais jamais pu me décider en moins d'une heure, impossible. Il y avait tellement de choses qui semblaient succulentes dans leur vitrine. Puis sortant un peu de cette semi-léthargie, éblouis par tant de bonne chose, je repris mes esprit pour me demander ou est ce que nous pouvions aller manger ces fameuses petites merveilles. Vu cet heure de la journée, de nombreuse personnes allait être dans le parc, même pas la peine d'y penser, à moins que je l'emmène vers la sortie sud du parc et que nous allions en haut de la colline. Je pense pouvoir facilement la pousser jusqu'en haut, mais est ce qu'elle voudra bien ? Puis, ce n'était pas un lieu anodin pour moi, mais il fallait tourner la page, et je pense qu'aller manger ces confiseries la bas me ferai du bien, pour passer à autre chose. Je me tourne de nouveau vers Aya, alors que le vendeur lui donne une boite avec ce qu'elle venait d'acheter. Je me demandais bien ce qu'elle avait pu prendre. Car à l'entendre tous dans cette boutique lui faisait envie. Je m'approche d'elle et de la sortie, lui ouvrant une seconde fois la porte. Une fois la demoiselle dehors je lui emboite le pas avec le sourire, m'étirant rapidement avant de prendre la parole.

 « Je te remercie encore pour me faire gouter à ce genre de pâtisserie, mais tu as un endroit ou tu aimerais aller les manger ? Sinon j'ai bien un petite idée de où aller, mais il faut que tu me laisse t'aider une dernière fois pour atteindre ce lieu, ça te tente ? »

Et oui, pour monter cette colline elle n'y arrivera pas avec la simple force de ses bras, il fallait donc que je la pousse encore une fois. Je pouvais bien lui faire ça, après ce qu'elle venait de m'offrir. Mon aide n'a aucune valeur monétaire contrairement à ces gâteaux qui sont loin d'être les moins cher du marché. Dans le fond j'espéré qu'elle ne sache pas trop ou aller, et qu'elle accepte ma proposition. Car cela faisait longtemps que je n'étais pas allé sous ce vieux chêne. Et au moins sur cette colline, nous n'aurions pas à subir les aller et venu des passants et des gens qui se promené en famille dans le parc.


 
A suivre…


 
 
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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptySam 4 Oct - 8:21

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P.V Ikki






Son sourire s'élargit dès lors que Ikki rit à son enthousiasme. Généralement, elle ne s'emportait pas de cette manière, quoi que elle n'en avait pas vraiment l'occasion non plus.  Il était rare qu'elle passe du temps avec qui que ce soit, son cercle d'ami étant plutôt restreint. Quand bien même, cela ne lui ressemblait guère de s'ouvrir ainsi. Bien entendu, elle restait toujours chaleureuse, mais tout en gardant une certaine retenue et maturité. Enfin, cela n'était pas un mal de se décontracter ne serait-ce qu'un peu, non ? De plus, ça ne paraissait pas déranger son camarade alors autant se laisser aller un peu !

Par la suite, une fois arrivé devant la boutique, le jeune homme reprit la parole. Il se doutait bien qu'elle était une connaisseuse en la matière, ce que la brune ne pouvait évidemment pas nier. Le garçon lui dit également qu'il n'avait aucune préférence particulière . Il s'en offrait seulement en de rares occasions et c'est aussi pour cela qu'il la laisserait choisir. C'est ainsi qu'Aya se rendit compte du degré social qui devait les séparer. Comme elle ne lui avait jamais réellement parlé, la demoiselle n'avait jamais pu savoir quelle était sa condition sociale. Pourtant, elle savait que celui-ci luttait contre la hiérarchie instaurée et également pour  plus d'aides envers les élèves les plus démunis. Cela aurait dû lui sauter aux yeux ! Bien-sûr, elle se moquait bien de savoir sa condition, mais peut-être était-ce dur pour lui de devoir accepter de se faire payer quelque chose ? Tant de questions la taraudèrent d'un coup. Cependant, il fallait qu'elle se ressaisisse. Il n'y avait là dans son geste aucune forme d'arrogance. Elle n'était pas comme d'autres qui étalaient l'argent de leurs parents aux yeux du monde. Non, cela venait tout simplement du cœur. Il l'avait aidé alors la moindre des choses était de lui faire plaisir. Aucune forme de condescendance  ou d'arrière pensée dedans. Il ne devait pas se  sentir offensé, se dit-elle après mûre réflexion.

Une fois ses doutes évaporaient,  elle rentra dans la boutique l'esprit soudain plus léger. Il y avait de nombreuses vitrines où été exposées des sucreries diverses et variées. D'un autre côté se trouvait des pâtisseries avec même certaines pièces montées similaires à celles des mariages. Dedans, les couleurs étincelaient de partout. Qu'importe où votre regard allait, il y avait toujours d'entreposé un met alléchant. Il était impossible de ne pas pouvoir retomber en enfance où ne pas  repenser  à ces contes féeriques, dans un tel endroit. Qu'importe le nombre de fois où elle venait, il y avait toujours cette impression de magie qui régnait. Se retournant vers le jeune homme, Aya observa sa réaction. Il lui paraissait ébahi et en pleine contemplation. La brune posa dès lors un regard affable. C'était plutôt attendrissant. Il n'avait sans doute, malheureusement, jamais eu l'occasion de poser les pieds ici, n'est-ce pas ? «  Il va falloir que je choisisse bien . » pensa-t-elle. En effet, une personne aussi gentille que lui méritait bien de goûter à l'un de ses plaisirs, c'était le mieux qu'elle pouvait faire !

Scrutant les étalages avec soin et minutie, Aya cherchait la gourmandise parfaite. C'est alors qu'elle tomba sur le rayon en face d'elle la ou plutôt les gourmandises appropriées. Dès lors, elle demanda à la caissière ce dont elle voulait. Celle-ci emballa et mit dans un sac l'achat de la demoiselle et lui donna après avoir reçu l'argent . C'est vrai que le tout était plutôt cher, mais cela valait la peine. En son for intérieur, la brune espérait que ce qu'elle avait choisi plairait à son camarade. Elle n'avait pas le droit à l'erreur. Une fois le sac sur ses genoux, Ikki lui ouvrit une énième fois la porte et elle sortit, le remerciant au passage. Il se mit par la suite en face d'elle lui demandant si elle voulait à quelque part. A dire vrai, la demoiselle ne s'était même pas posée la question. Un sentiment de gêne apparu et disparu bien vite lorsqu'il lui proposa de l'emmener dans un endroit « secret ». Néanmoins, il allait falloir qu'il l'aide encore. Par pure fierté, elle hésita à dire non immédiatement. Question de principe. Cependant, il fallait qu'elle mette son ego mal placé de côté de temps à autres. Elle avait beau ne pas aimer ça … Il fallait dire que cet endroit l'intriguait. Par ailleurs, sa proposition était dite si gentiment... Et puis c'était bien là la première qu'on l'invitait. Il aurait été fou de refuser, non ?
C'est alors, qu'un sourire chaleureux se dessina sur le visage de la jeune fille.

-Tu viens de piquer ma curiosité . Et puis, ce serait trop impolie de refuser une pareille proposition, non ? Dit-elle de sa voix harmonieuse. Ça me tenterai énormément oui, mais à condition que ce soit bien la dernière fois que tu m'aides ! Termina-t-elle d'un ton amusé.



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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyMar 7 Oct - 7:57




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Après avoir été éblouie par toute ses bonne choses, il fallait bien trouver un endroit tout aussi sympathique. Le problème ? Si je n'aidais pas Aya, il était impossible d'y accéder. Non je ne la sous-estimais pas du tout, c'est juste qu'avec son fauteuil, grimper sur une colline, bien que la pente ne soit pas des plus raide, allait être difficile. J'avais besoin de passer d'autre moments en ces lieux pour passer le pas, et ne plus avoir à me dire que je n'y étais allé soit seul ou soit avec Hime. Je chasse rapidement ses pensées de ma tête, posant mon regard sur ma camarade de classe, qui affichait maintenant un sourire chaleureux. C'était surement bon signe, du moins j'espère qu'elle allait accepter. Puis de toute façon avec le monde dans les rues, et surement dans le parc, impossible de se poser au calme. C'est là qu'elle reprend la parole, en avouant que je venais de piquer ça curiosité. J'affiche un large sourire, pour cacher une légère gène, pourquoi ? Je vous le demande. Peut être qu'avec un peu moins de suspens elle aurait refusé ? Puis la suite de sa réponse me rassura un peu plus, et me mis plus à l'aise. Elle fini par y ajouter sa condition : Plus question de l'aider par ensuite. Je rit un peu et acquiesce avec un simple signe de tête. Je la comprenait et je respecterai sa condition. Enfin je comprenais sans trop comprendre, je sais que pour moi me faire payer des chose est assez gênant, mais n'étant pas fier pour un clou, je ne pouvais pas vraiment me mettre dans sa position, bien que j'ignore si elle l'était ou non.

Je me met donc en route pour la porte sud du parc, la laissant me suivre sans l'aider. Ce n'était pas la peine de l'embêter avec ça. Puis on ne se connaissait pas encore pour se genre de taquineries. C'est surement ce que de bon amis ferai. Faire ce que l'autre n'aime pas juste pour l'embêter amicalement. Quand je pense que je ne connaissait rien sur la demoiselle hormis le fait qu'elle était dans la même classe que moi, et qu'elle devait faire partie d'une famille aisé, voir plus. Je ne savais pas trop quoi dire. Rah, moi et les discutions... Puis je e rappelai soudainement de se devoir de math qu'il fallait rendre pour mardi ou mercredi... J'étais sensé le relire ce soir, car vu mes difficultés dans cette matières je m'y étais prit à l'avance pour le terminer, mais me connaissant j'allais surement le lire et le relire. Enfin je pensais à ça, mais pas vraiment pour moi, je me demandais si Aya n'avait rien de prévu aujourd'hui. Car comme on était partis, on allait surement passer toute la matinée ensemble, et je ne voulais pas non plus qu'elle perde son temps avec moi si elle avait quelque chose de prévu pour ce matin. Quel idiot, j'aurais du lui demander avant de lui proposer d'aller sur cette colline pour manger je ne sais quelles confiseries. Je reprend la parole tout en continuant de marcher au rythme de la demoiselle :

« Heu... J'espère que tu n'avait rien de prévu pour ce matin, je ne voudrais pas te déranger dans tes activités. Je sais en plus qu'on a plusieurs travaux à rendre pour le semaine prochaine en cours. Sinon on est bientôt arrivé, c'est un peu plus loin une fois qu'on sera entré dans le parc. »

Puis en même temps nous étions presque arrivé au parc, enfin on avait pas besoin de traverser tout le parc pour aller à l'endroit ou je voulais l'emmener. J'espérais bien que cette matinée en sa compagnie ne sera pas écourtée. Car elle était vraiment gentille de m'avoir acheter ces confiserie juste parce que je lui avait donné un coup de main. J'avais envie de la connaitre un peu plus pour sympathiser avec elle. Après tout elle est dans la même classe que moi, c'est un peu normal de vouloir connaitre ses camarades non ? C'est vrai que j'étais plus ou moins timide est maladroit, alors je n'avais pas pour habitude d'aller vers mes camarade pour bavarder. Malgré ma popularité actuelle, je préférais être discret. Le devant de la scène n'était pas fait pour moi, mes relations m'y on pourtant poussé. Aujourd'hui beaucoup connaissaient mon nom, quat à moi je ne connaissais pas grand monde au final. Nous arrivions enfin devant cette fameuse colline, d'en bas on pouvait apercevoir le chêne qui régnait en haut. Je m'arrêtais reprenant la parole amicalement.

« Allez , plus qu'a monter la haut et on pourra déguster ces fameuses confiseries. Et comme tu me l'a demandé, c'est la dernière fois que je t'aide. Maintenant c'est partis ! »

Sans plus attendre, je me poste rapidement derrière elle et commence à la pousser pour monter la pente. Je glisse un peu au début, me laissant surprendre par l'herbe encore humide à cause du brouillard de ce matin. Mais après ce démarrage plutôt douteux, j'arrive rapidement en haut sans trop d'effort. Nous y voila enfin, sur cette petite colline, au calme, loin du brouhaha des enfants qui courent dans le parc. Abrité par un vieux chêne, seule une légère brise se faisait sentir. En plus on avait une assez belle vue sur la ville de Konoha. Y a pas à dire, j'adoré vraiment ce lieux et tous les souvenirs qu'il renfermait. J'étais maintenant impatient de savoir quelles confiseries elle avait choisi pus tôt à la boutique. Je me tourne donc vers elle, les yeux légèrement brillant, presque pressé de savoir ce que contenait son sac. Je reprend donc la parole avec enthousiasme :

« Et voila ! J'espère que ça valait la peine de t'aider. Maintenant j'ai hâte de gouter à ces merveilles que tu as acheté tout à l'heure. »

J'avais un sourire indescriptible, à la fois content d'être là avec une camarade de classe bien plus que sympathique, et j'avais tellement hâte de voir ce qu'elle avait acheter. Je me remémorais tout ce qu'il y avait dans cette somptueuse boutique. De toute les couleurs, de tout les gouts, tellement de choses qui avaient l'air délicieuse. J'étais comme un gosse à qui on allait offrir un cadeau. Oui je le sentais, je sentais mes yeux qui brillaient comme lorsque j'étais dans cette boutique.


A suivre…


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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyDim 12 Oct - 6:57

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Son camarade ria à sa phrase et finit par acquiescer. Par la suite ils se mirent en route vers le parc et cette fois-ci il ne tenta pas de l'aider, du moins pour le moment. Intérieurement, elle lui en fut reconnaissante. Attiser la pitié était l'une de ses plus grandes craintes et également source d'agacement. Pour autant, Ikki semblait avoir compris ce sombre point de sa personnalité ce qui ne pouvait que la ravir. La plupart des gens ne faisaient pas cet effort et prenait la jeune fille comme une pauvre gourde incapable qu'il fallait surprotégée. Bon, peut-être pas « gourde incapable », mais du moins, c'était son ressentit dans la plupart des cas.

Silencieusement, ils avancèrent, toujours avec la même atmosphère calme et plus ou moins détendue. Plus ou moins parce que ce blanc entre eux pouvait être assez pesant. D'ailleurs, cela commençait à l'être. Malheureusement, Aya eut beau se torturer l'esprit aucun sujet le lui vînt en tête. Un de ses défauts encore. Un peu trop ennuyante sur les bords. Son enjouement naturel n'empêchait pas qu'elle était mauvaise pour rendre une conversation réellement dynamique . Généralement, elle se contentait de parler de sujets bateaux avec les quelques camarades qui parfois accordaient de leur temps à la brunette. Oui, sa vie sociale pouvait se résumer comme étant d' passionnante monotonie. Heureusement, Ikki les sauva du malaise qui commençait progressivement à s'installer.

Ce dernier voulu s'assurer qu'elle n'avait aucune activité de prévu ni même encore du travail à effectuer au vu de tous les devoirs que leurs professeurs avaient donnés. Par ailleurs, il lui annonça qu'ils arrivaient bientôt au parc. La brunette revêtit une fois de plus cet air amusé. Il était vrai, qu'ils avaient beaucoup à rendre pour la semaine à venir. Néanmoins,  le sérieux de la jeune fille l'obligeait de toujours finir si possible le travail demander le soir même. Quitte à déborder sur quelques heures de sommeil. Cela pouvait paraître exagéré, mais Aya aimait le travail vite et bien fait. Au vu de ses quelques facilités cela lui permettait d'avoir plus de temps libre pour dessiner, lire et rêvasser... Quant au fait de savoir si elle avait autre chose à faire hormis son travail scolaire... La réponse était claire.

-Ah, ne t'en fais pas ! Je n'avais absolument rien de prévu à part peut-être me promener dans la ville... Mais, je préfère largement passer du temps à manger des confiseries ! Dit-elle en riant légèrement, continuant. Et puis pour les devoirs j'ai réussi à tous les achever pendant la semaine. Enfin vivement qu'on arrive à ce fameux endroit !

Par la même occasion, ils arrivèrent bientôt au parc. Une fois à l'intérieur, la jeune fille observa les nombreuses personnes présentent. Plutôt normal au vu de l'heure. Y avait-il un endroit « caché » à l'intérieur ? Se demanda-t-elle de plus en plus curieuse. Ils traversèrent une partie de celui-ci, jusqu'à ce que Ikki s'arrête.  Aya l'observa d'une mine interrogative ne sachant pas où il voulait aller. Néanmoins, elle leva enfin les yeux et comprit. La colline. Ses yeux s'agrandirent sous la surprise, mais elle laissa la parole au jeune homme. Il lui dit que c'était parti et que ce serait la dernière fois qu'il l'aiderait. Aya voulu protester. Il n'était pas obliger de ce démener autant juste pour manger une confiserie. Certes, la pente n'était pas des plus raides, mais cela devait demander beaucoup d'effort physique de faire avancer un poids mort ! Elle comprenait mieux pourquoi il fallait qu'elle requiert main forte auprès de lui . Cependant, quand bien même elle aurait voulu lui dire que ce n'était pas la peine, le garçon se mit déjà à pousser. Le cœur battant, la brune eut sans nul doute peur. Heureusement, ils arrivèrent vite et sans encombre. Soupire de soulagement.

Elle respira une bonne dose d'air avant d'expirer. Son regard pétillant se reporta sur une partie de la
ville qui s'offrait à eux. Sous ce vieux chêne, surplombant le paysage, Aya ressentait une agréable sensation indescriptible. Il y avait à cet instant un moment de parfaite harmonie que rien au monde n'aurait pu troubler. Était-ce de la magie ?


Qu'importe, il fallait savourer ce moment  et avec une confiserie c'était encore mieux. Ikki le lui rappela bien, sûrement impatient. Aya sourit et hocha de la tête et sortit du sac une boite en carton où contenaient les gâteaux. D'humeur taquine, elle prit tout son temps avant d'ouvrir enfin l'emballage. Faire saliver un peu plus le garçon était amusant, non ?
Les gâteaux n' étaient autres que des macarons (de taille moyenne) fourrés à la framboise et au litchi avec à l'intérieur une crème pâtissière à la rose (photo). Un délice aux couleurs rosées et rougeâtres qu'Aya n'avait pu goûter qu'une fois.

La brunette tendit la part et une cuillère en plastique à son camarade tout sourire aux lèvres.

-On a baptisé ça l'Ispahan, j'espère sincèrement que tu vas aimer sinon je n'ai plus qu'à me cogner la tête contre le chêne! Dit-elle pour plaisanter.

Quoique, si il n'aimait pas se cogner la tête serait une éventualité. Il ne restait plus qu'à prier ! Pour sa part, la jeune fille se permit de goûter la première le dessert. Dès la première bouchée le merveilleux se réveilla. Dans son palais une myriade de sensations coulaient. Décidément, la matinée ne cessait de s'égayer. Et désormais, s'installer l'insupportable attente de ne pas savoir l'avis du jeune homme. Aimait-il ? Ou s'était-elle totalement trompée ? Il fallait savoir et vite.

-Alors Ikki-san, ce trajet valait-il le coup ? Demanda-t-elle impatiente et les yeux étincelants.

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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyMar 21 Oct - 1:49




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J'étais soulagé qu'elle n'ai rien prévu de sa journée. Car je ne voulais surtout pas lui faire perdre du temps juste le temps de déguster une confiserie. Après cette bonne nouvelle, il y avait maintenant le passage ou je devais l'aider, bien qu'elle ne doit pas forcément aimer ça. Après je vouais bien la laisser faire seule, mais je ne voulais pas qu'il lui arrive un accident, je risquerai de m'en vouloir horriblement. Je ne sais pas pourquoi, mais j'vais l'impression qu'en revenant ici, en haut de cette colline, avec d'autres personnes, j'oublierai que c'était notre endroit, à Hime et moi. Et puis c'était un lieu calme et agréable, assez rare a cette heure ci dans le parc. Je jetais rapidement un coup d'œil au paysage, avant de rapidement me tourner vers Aya. Car oui, nous n'avions pas bravé cette colline juste pour regarder le paysage, mais également pour déguster dans le calme ces petites merveilles qu'Aya avait achetés un peu plus tôt. Sans voir à quoi ressemblait ces délicieuse petite chose on pouvait voir dans mon regard comme des petite lumière. Oui j'étais comme un gosse à qui on tend un paquet de bonbon. Ce n'est pas tout les jours que je pouvais gouter à ce genre de pâtisserie, je n'y avait même jamais gouté ! Je n'avait même pas demandé à Aya si elle aimé l'endroit. Quel idiot je faisait emporté par la gourmandise, bien que ça ne me ressemble pas. Elle devait très certainement me trouver bête de me mettre dans de tel états juste pour une pâtisserie. Puis enfin, la boite aux merveilles s'ouvre. Mes yeux brillaient de plus belle devant ces splendides gâteaux roses.

Aya fini par me tendre l'un de ces mets fort appétissant avec une petite cuillère. Je me demandais bien comment les gens pouvaient trouver l'inspiration pour faire des pâtisseries de la sorte, tellement belles que nos yeux ne pouvaient que briller devant des merveilles pareille. C'était la première fois que j'allais gouter à un gâteau de la sorte. Je n'osais pas trop me lancer, cherchant à savoir comment je pourrais trouver le gout, la texture et tous ce qui fait qu'une pâtisserie reste le péché mignon de la plupart des gens. Tellement passionné par l'admiration que je porte à cette petite chose rose, j'écoute à moitié les dires d'Aya, relevant la tête au dernier moment ne sachant quoi ajouté ayant loupé le début de la phrase. Puis après avoir bafouiller un "je pense" bien maladroit et confus, je lui offre un large sourire, laissant échapper un petit rire. Pas question que je la laisse se taper la tête contre un arbre ! Puis je me demandais comment je ne pourrais pas aimer de tel gâteaux. J'hésitais encore un peu à me lancer, contrairement à Aya qui semblait totalement émerveillée par la bouchée qu'elle venait de prendre. A mon tour je fis de même, totalement envahi par le coté sucré et fruité de cette gourmandise. Je ne savais pas quoi dire, ni comment décrire ce gout. Je me demande même comment est ce que je faisais pour ne pas le terminer en deux bouchés tellement c'était délicieux. Je reconnaissais parfaitement le gout de la framboise et du litchi, mais je me demandais à quoi pouvait bien être la crème qui fourré le gâteau. Je reprit une autre bouchée, cherchant à découvrir à quoi pouvait bien être cette fameuse crème. Mais impossible.

« C'est vraiment délicieux, je n'avais encore jamais manger de gâteau aussi bon et raffiné. Merci Aya ! Mais je me demande bien à quoi peut être la crème au milieu... J'ai bien senti un gout de litchi et de framboise, mais je ne trouve pas d'origine à cette dernière saveur... Et tu as raison le trajet valait le coup ! »

En effet cette interminable attente le temps de se rendre au parc était récompensée par un met délicieux. Quel plaisir d'avoir pu y gouter. Je me rendais compte qu'avoir de l'argent était tout de même très pratique ici, à Konoha. S'adonner à des petits plaisirs comme ça de temps en temps sans se ruiner. Je prenais une autre bouchée, savourant malgré mon envie folle terminer le gâteau en un rien de temps. Il fallait que j'en profite, car c'était très certainement la dernière fois que j'aurais la chance de manger un pâtisserie comme celle-ci. Puis avec cette brise, et la vue sur Konoha il fallait avouer que c'était vraiment un moment très plaisant. Ah oui, c'est vrai que je ne lui avais toujours pas demandé son avis sur cet endroit.

« En fait, Aya, j'espère que cet endroit te plait et que ça valait la peine de t'aider une fois de plus ? »

Outre le fait que cela me faisais du bien de passer du temps ici avec du monde, il fallait aussi que ça lui plaise. Mon regard était de nouveau plongé dans celui d'Aya avec un large sourire. J'espère qu'elle prenait autant de plaisir que moi en dégustant sa sucrerie ici, sur cette colline qui surplombait le parc. Tournant de nouveau mon regard vers l'horizon, je pris une énième bouchée de ce plaisir sucré, la savourant comme si c'était la première et la dernière en même temps. Ah, quel délice.


A suivre…


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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyMar 11 Nov - 10:49

Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe.
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Aya laissa échapper un énième rire face à la réponse  confuse de son camarade. La jeune fille lui soupçonnait de ne pas l'avoir écouté, mais ce n'était qu'une impression et le voir ainsi contempler la fine bouchée l'amusait énormément. Pour sa part elle continuait de dégustait chaque bouchées toujours avec ce même plaisir intense. Cela ne l'empêchait pas d'observer le jeune homme du coin de l'oeil pour attendre sa réaction. Toujours les yeux pleins de pétillement guettant le moindre signe de sa part.

Ainsi, dès lors qu'elle le vit prendre la première bouchée, la jeune fille échappa un soupire de soulagement. Elle ne s'était pas trompée. Le jeune homme ne s'était pas démené pour rien, n'est-ce pas ?  Il ne suffisait plus qu'à avoir une confirmation orale et ses doutes s'estomperaient instantanément. Comme le ciel était plus clément qu'à l'habitude la brune eut ce qu'elle voulut entendre. Son sourire s'élargit davantage sous ses paroles.  A cet instant, elle se sentait vraiment heureuse. D'une certaine façon ne partageaient-ils pas un moment privilégié semblable à des... Amis ? Stupide fille ! Clama-t-elle en son for intérieur après que cette pensée lui eut effleurée l'esprit. Certes , la scène pouvait y être semblable d'après ce qu'elle voyait tous les jours ou encore de ce qu'elle en lisait dans les livres. Néanmoins, ça ne faisait même pas deux heures qu'ils se connaissaient. L'amitié était quelque chose qui se construisait sur le long terme, n'est-ce pas ?  La jeune fille rejetta cette pensée, légèrement déçue. Tant pis, il n'yavait pas lieu de l'être. Ces instants étaient plus qu'agréables ! Le reste, elle y songerait plus tard.

Bien que son esprit fut légèrement confus, son visage n'en montra rien et la lycéenne, de sa voix doucereuse prit la parole après qu'Ikki lui ait parlé.

-Je suis contente que ça t'ait plus, de toutes les pâtisseries que j'ai goûté celle-ci est ma préférée même si je n'en avais mangé qu'une fois. Confia-t-elle souriante et en continuant. Cette dernière saveur qui t'échappe est la rose bien présente dans la crème pâtissière. Si je pouvais j'en mangerais tous les jours ! Elle rit encore avant de se stopper et terminer sa phrase. En tout cas, je suis soulagée que tu n'ais pas fait tous ces efforts pour rien.

Oui, c'était le principal. Certes, ces petits gâteaux étaient bien dérisoires face à la gentillesse de son camarade, mais il paraissait tou aussi ravi qu'elle, non ? Ses paroles avaient été sincères. Elle le savait. Discerner le vrai du faux, la franchise de l'hypocrisie était quelque chose d'aisé lorsqu'on devait côtoyer l'impitoyable haute société. D'ailleurs depuis combien de temps n'avait-elle pas eu une conversation sans la moindre fausseté si l'on exceptait le lycée et son club ? Indéniablement longtemps. Elle connaissait la plupart des gens par l'intermédiaire de son père et tous revêtaient un masque d'hypocrisie, Aya n'y échappait pas non plus.  Alors un tel moment lui changeait de ses soirées pompeuses auxquelles elle ne pouvait hélas pas échapper.
C'est pourquoi lorsque Ikki lui posa cette question, un énième fou rire sorti de sa bouche, décidément ! Bon, déjà, mieux valait commencer par arrêter de glousser, pour répondre. Une fois son rire estompé, la brune posa une main contre sa bouche et toussota légèrement gênée de son comportement.

-J … Je suis désolée, mon fou rire était involontaire et surtout.... Ne l'interprête pas mal. C'est juste que quand tu m'as posé la question, je me disais que cela faisait depuis longtemps que je n'avais pas été dans un tel endroit. C'es la première fois que j'ai  la chance de pouvoir contempler Konoha sous cet angle et... Je dois admettre que je ne regrette pas une seconde d'avoir accepté ton aide. Merci.

Rare étaient les fois où elle disait tout ce qu'elle voulait dire sincèrement. Spontanément la jeune fille avait dit ses paroles sans trop réfléchir en faisant preuve d'une spontanéité qu'elle ne se connaissait pas. Observant une nouvelle fois la vue se présentant sous ses yeux, elle se sentit plus légère, plus vivante. Rester ici encore longtemps ne lui déplairait pas, vraiment. Au contraire, élire domicile sous le chêne serait merveilleux, mais sûrement pas envisageable … Tant pis. Bien qu'elle voulait rester cela ne voulait pas dire que lui le voulait. Peut-être s'ennuyait déjà-t-il ? Quelle heure était-il d'ailleurs ? Bientôt midi, sans doute. Oui, ils ne pouvaient pas rester là indéfiniment. Bon, pour une fois, il fallait bien qu'elle prenne des initiatives ! De toute l'audace dont-elle pouvait faire preuve la jeune fille reprit la parole.

-Ikki-san, ça te dirais qu'on redescendent et hm... Peut-être qu'on retournent dans les rues, enfin si tu veux. Je comprendrais que tu ne veuilles pas. Comme tu l'as dit la semaine prochaine est chargée et tu n'as sûrement pas le temps. Termina-t-elle plus ou moins confuse, mais tout en gardant un petit sourire poli.

Bien entendu, ce n'était que sur l'instant présent qu'elle avait pensé au fait qu'il pouvait être occupé cet après-midi. Il était hors de question d'abuser de sa gentillesse et de son temps.

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Ikki Strauss
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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptyMar 25 Nov - 10:54




« Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. »






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Feat Aya Ryuichi

Oui, j'étais heureux d'être ici avec ma camarade de classe. J'étais tout sourire, vraiment content de partager ce moment avec Aya. Jamais je n'aurais pensé passer une matinée de la sorte. Comme quoi je ne connaissais pas vraiment mes camarade de classe, et je loupais quelque chose. Cela faisait un moment que je n'avais pas autant souris en une matinée. Mais il y avait toujours cette saveur que je cherchais, c'étais vraiment bon, mais elle ne me rappelait rien de ce que j'avais pu gouter avant. Je ne pouvais m'empêcher d'afficher ce large sourire, surtout en la voyant rire de la sorte. Et comment pouvais je ne pas aimer cette pâtisserie, si elle avoué que celle ci était la meilleure qu'elle est plus gouter jusqu'à aujourd'hui ? Puis enfin, elle m'annonçait quel était la saveur qui m'échappais, de la rose. Je fut surpris, comment s'imaginer en train de manger quelque chose avec un gout de fleur ?

Elle fini sa phrase en me disant être soulagée que j'aime ce met qu'elle avait choisi pour nous. Je lui offris un énième sourire, terminant ce fameux macaron au gout de fleur. Une fois cette merveille terminée, je fis quelque pas en arrière afin de m'assoir contre le grand chêne en profitant de cette vue de fin de matinée. Cela me rappelais tellement de souvenir, au final le fait d'être revenu ici allez surement m'aider à tourner la page sur mon ancienne histoire. Miyuki avait eu raison, avoir parler avec cette lycéenne m'avait fait le plus grand bien, et la passer cette matinée en compagnie d'Aya me faisais le plus grand bien. La jeune femme lâcha un nouveau rire, ce qui me fis sourire de plus belle. Cela me faisait plaisir de voir qu'elle passait un bon moment. Je la regardait rire, jusqu'à ce qu'elle s'arrête en posant sa main devant ça bouge avant de s'excuser. Je ne prenais pas mal tous ses rire, bien au contraire. Puis elle me remercia, c'était plutôt à moi de la remercier, je n'avais rien fait de plus que de la pousser dans ce lieu que je connaissais. Cela ne servais à rien de garder ce lieu secret, surtout si cela pouvait égayer la matinée de quelqu'un. A mon tour je repris la parole.


« Ne t'en fais pas, je préfère voir le gens rire de toute façon. Et puis c'est plutôt à moi de te remercier pour cette merveille que tu m'as fait gouter, pour ma part je n'est juste eu qu'a te pousser jusqu'ici. »

Le soleil était déjà bien haut dans le ciel, on devait déjà approcher de l'heure du midi. Déjà. Je ne voulais pas non plus que cette petite escapade lui prenne tous son temps, même si elle m'avait dit ne rien avoir de prévu aujourd'hui. Je fini par me relever alors qu'elle me propose de penser à redescendre, pour peut être aller faire un tour dans les rues de Konoha. Pourquoi pas. Puis ce n'est pas comme si j'étais presser de rentrer à KHS pour tenter de voir si mes exercices étaient correcte ou non. Mais pour descendre de la, elle allait devoir encore accepter mon aide une dernière fois, sauf si elle souhaitait battre le record de vitesse en fauteuil. Je ne voulais pas non plus qu'elle se fasse mal par ma faute, l'emmener ici puis la laisser redescendre par ses propre moyens, cela ne serai vraiment pas très sympathique de ma part. Je repris donc la parole une fois debout.

« EOui pourquoi pas, je serai ravie de passer un peu plus de temps en ta compagnie. Part contre si cela ne te dérange pas, j'aimerai également te donner un coup de main pour descendre. »

De toute façon je ne comptais pas trop lui laisser le choix, car c'était hors de question qu'elle prenne le risque de descendre toute seule. C'est donc sans trop attendre sa réponse que je me postais derrière elle pour entreprendre la descente. Je ne comptais pas la lâcher, c'est pour cela que la descente se passait bien. Je mettais tout mon poids en arrière pour retenir son fauteuil. Une fois en bas je la laissais se débrouiller seule, pour se rendre en ville. Une fois sortit du parc nous passons devant plusieurs restaurant. C'est là que je cru apercevoir mon ami, Shikamaru, et la vice présidente du conseil des élèves. Je n'ajoutais rien à leur propos mais j'ai bien certain d'avoir vu mon ami en compagnie de la blonde. Je pense qu'ils ne souhaitent pas que ce repas fasse partie des ragots du prochain journal, il ne fallait donc pas que cela s'ébruite...


A suivre…


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Aya Ryuichi
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MessageSujet: Re: Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.]   Offrir de l'aide est quelque chose de gratuit, qui se fait par réflexe. [Feat Aya Ryuichi.] EmptySam 24 Jan - 4:43

spacing:0px;margin-top:12px; margin-bottom:-14px;text-align:right;">P.V Ikki




Une nouvelle fois Aya fut contente de l'approbation de son camarade. Sa compagnie lui était agréable et elle voulait que cela continue. Ca lui changeait de ses week-end solitaires et mornes dont elle s'était acclimatée bien malgré elle. Par ailleurs, il lui proposa une nouvelle fois son aide. Bien qu'elle aurait voulu protester pour le principe de protester il ne lui en laissa même pas le temps. Ce n'était peut-être pas plus mal. Alors, pour toute réponse elle pencha sa tête légèrement en arrière et lui sourit avant de ré-observer le paysage qui se présentait devant elle.

Peu à peu la vue d'ensemble qu'elle avait disparaissait. Dans la descente, Aya serra un peu plus ses mains contre les accoudoirs de son fauteuil. Elle savait qu'elle était en sécurité néanmoins son petit cœur redoutait quand même un accident. Finalement, tout se passa sans encombre et la brune poussa un soupire de soulagement. Une dernière fois elle observa la colline. Se sentait-elle déjà nostalgique ? Oui, sûrement. La peur de se dire que c'était la première et dernière fois. Pour autant, elle ne pouvait pas se plaindre. Ce moment avait été très agréable, l'avoir vécu au moins une fois lui suffisait. Oui, tout avait été très bien. Sa brève mélancolie partie, ils se remirent en route et cette fois Ikki la laissa se débrouiller. Intérieurement, elle lui en remercia.

La lycéenne observa le monde qui n'avait pas cessé d'affluer dans le parc, des salariés, des jeunes, des enfants et leurs parents venus pour la pause midi. Après cela, une fois sortit de parc, ils repartirent dans les ruelles où il y avait plusieurs restaurants. Toutes les bonnes odeurs éveillèrent les sens de la jeune fille qui ne restait pas indifférente. Ses orbes chocolatées scrutèrent avec un intérêt les différents lieux jusqu'à ce qu'elle remarque quelque chose.

-Oh ! S'exclama-t-elle vivement.

Nara Shikamaru et Sabaku No Temari, où l'un des « couples » qui faisait le plus couler d'encre en déchaînant les passions des lecteurs. Ils étaient là au restaurant tous les deux à une table. Soudain, le côté fleur bleue de la brune ressurgit. Des étoiles pleins les yeux face à ce spectacle inattendu elle resta immobile. Dans son esprit la phrase « Tellement mignon ! » défilait encore et encore.

Soudain, Aya se retourna vers Ikki, un adorable sourire aux lèvres. Elle se permit  avec ses petits doigts de tirer une manche de son t-shirt pour lui faire signe de se pencher. Par la suite elle se rapprocha de l'oreille du jeune homme et chuchota doucement :

-Ikki- san, tu as vu comme moi ? Shikamaru-san et Temari-sempaï à la même table. Tu ne trouves pas sa romantique ? C'est tellement adorable !

Que voulez-vous ? La lycéenne restait une jeune fille qui ne pouvait s'empêcher de s'émerveiller pour ce qu'on appelle plus communément « amour ».


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